Objectifs de développement durable des Nations Unies /unsdgs/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 16:08:00 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.1 Le City Institute de York développe de nouvelles connaissances et des approches innovantes dans le domaine urbain /unsdgs/sustainable-cities-and-communities-fr/yorks-city-institute-provides-new-knowledge-and-innovative-approaches-in-the-urban-arena/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:45:53 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/yorks-city-institute-provides-new-knowledge-and-innovative-approaches-in-the-urban-arena/ Pictured here: Linda Peake En tant qu’établissement d’apprentissage et d’enseignement, l’Université York se définit par sa capacité à relever des défis sociaux complexes et à élaborer et fournir des solutions qui apportent des changements significatifs dans le monde. Cela est particulièrement vrai dans nos villes où la plupart d’entre nous vivent aujourd’hui. York est un centre […]

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Pictured here: Linda Peake

En tant qu’établissement d’apprentissage et d’enseignement, l’Université York se définit par sa capacité à relever des défis sociaux complexes et à élaborer et fournir des solutions qui apportent des changements significatifs dans le monde. Cela est particulièrement vrai dans nos villes où la plupart d’entre nous vivent aujourd’hui.

York est un centre de réflexion et d’action sur la manière de construire des villes et des communautés plus durables et inclusives. Au centre de ce travail se trouve le City Institute de l’Université York (CITY) qui réunit des universitaires de York spécialistes dans des domaines tels que la géographie, les études environnementales, la planification, la sociologie, l’anthropologie, la science politique et l’éducation. Il est dirigé par la professeure Linda Peake, une universitaire primée, spécialisée dans l’intersection de la race et du genre et dans l’influence que ces facteurs exercent en géographie humaine et au-delà. Sous sa direction, le City Institute a une incidence sur la manière dont nous construisons, développons et réaménageons nos communautés au 21e ²õ¾±Ã¨³¦±ô±ð.&²Ô²ú²õ±è;

« Nous avons créé le City Institute pour être un leader mondial de la recherche sur la façon dont nous pouvons mieux planifier, construire et améliorer nos villes au profit des personnes qui y vivent, explique Mme Peake. Je suis très heureuse de travailler aux côtés d’esprits brillants et de participer à un projet aussi important. Le travail que nous accomplissons ensemble a un effet réel dans le monde d’aujourd’hui et pour les années à venir. Â»

En tant qu’institut interdisciplinaire, CITY facilite la recherche critique et collaborative, apportant de nouvelles connaissances et des approches innovantes pour comprendre et aborder la complexité de l’arène urbaine. L’Institut joue également un rôle essentiel dans le développement de la prochaine génération de leaders et de penseurs du Canada, les diplômés et chercheurs postdoctoraux jouant un rôle central dans la vie de l’Institut. Les chercheurs de CITY entretiennent des relations de longue date avec des groupes communautaires, des ONG et des décideurs politiques à Toronto, dans la région du Grand Toronto (GTA) et dans le monde entier.

Le City Institute dispose d’un certain nombre de groupes de travail, dont le groupe de recherche sur les villes intelligentes, le groupe de recherche urbaine féministe et le groupe sur les banlieues. CITY est également à l’origine de nombreux projets de recherche novateurs, dont CivicLabTO, Digital Urbanism and the Challenge of Urban Governance, Student DwellTO, ainsi que le projet GenUrb, financé par le CRSH, GenUrb: Gender, urbanization and the global south, qui est axé sur l’urbanisation et le genre dans les pays à revenu moyen inférieur et est également dirigé par la professeure Peake. 

Réunissant des leaders d’opinion de l’Université et d’ailleurs, la série de séminaires CITY favorise le dialogue sur une variété de sujets allant de l’impact des élections fédérales sur la région du Grand Toronto au savoir et à l’éducation centrés sur les Autochtones. Récemment, le sommet CivicLabTO a réuni tous les collèges et toutes les universités de Toronto pour discuter de la relance de la ville après la pandémie, en mettant l’accent sur la collaboration avec le gouvernement municipal, le renouvellement et la résilience.  

Plus récemment, le City Institute a mis en place une série d’événements de formation professionnelle pour les diplômés – ateliers sur la pratique professionnelle, séances « s’asseoir et écrire Â», prix de rédaction pour les étudiantes et étudiants de premier cycle et les diplômées et diplômés, conférence d’une journée pour les diplômés – tant pour les diplômés en Études urbaines que les étudiants de niveau 4000. Il s’agira d’une série d’événements annuels qui aideront également les diplômées et diplômés travaillant sur leur plan de développement individuels d’études supérieures.

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York lance une nouvelle politique d’approvisionnement social – une première au Canada /unsdgs/responsible-consumption-and-production-fr/york-launches-new-social-procurement-policy/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:45:44 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/york-launches-new-social-procurement-policy/ Pictured here: Dexter King L’Université York est un leader communautaire et un membre fier et actif de la communauté. Nous voulons vivre, travailler et enseigner dans un lieu prospère, diversifié et durable, et nous pensons que nous avons la possibilité et l’obligation de montrer l’exemple. Alors, c’est ce que nous faisons. L’une de nos façons de […]

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Pictured here: Dexter King

L’Université York est un leader communautaire et un membre fier et actif de la communauté. Nous voulons vivre, travailler et enseigner dans un lieu prospère, diversifié et durable, et nous pensons que nous avons la possibilité et l’obligation de montrer l’exemple. Alors, c’est ce que nous faisons.

L’une de nos façons de donner l’exemple est notre politique d’approvisionnement social. York est l’une des premières universités canadiennes à avoir établi une politique complète d’approvisionnement social. Nous comprenons que la façon dont nous achetons et fournissons des biens et des services permet une croissance économique inclusive et a un impact positif sur les communautés qui nous entourent.

Comme l’explique le directeur des Services d’approvisionnement, Dexter King : « La politique d’approvisionnement social de l’Université reflète ses valeurs d’équité, d’inclusion et de justice sociale, des valeurs qui l’ont fait avancer depuis plus de 60 ans. Â»

La politique d’approvisionnement social de York établit le cadre des valeurs et des principes pour améliorer l’incidence sur la communauté et donne des directives au personnel sur la façon dont nous achetons des biens et des services. Cette politique a notamment les effets suivants :

  • Elle s’attaque aux désavantages économiques en promouvant l’égalité des chances et l’inclusion et en éliminant les obstacles auxquels se heurtent les communautés en quête d’équité et d’autres personnes qui connaissent de manière disproportionnée le chômage ou le sous-emploi et la discrimination;
  • Elle aspire à développer une culture de l’approvisionnement social à York;
  • Elle tire parti des processus d’achat de York au profit de notre économie locale;
  • Elle crée un réel équilibre entre les objectifs d’équité, la responsabilisation, la transparence et l’efficacité; et
  • Elle s’intègre au rôle de York en tant qu’, créant ainsi un processus de chaîne d’approvisionnement responsable et durable.

La façon dont nous avons obtenu des biens et des services pour la construction en cours du campus Markham de York est un excellent exemple de l’impact de notre réseau de fournisseurs « fournisseur divers Â» ou d’« entreprise sociale Â».

York construit au cÅ“ur de Markham un nouveau campus de 10 Ã©tages et de 400 000 pieds carrés, qui doit ouvrir en automne 2023 et qui augmentera l’accès à des expériences d’apprentissage de haute qualité, axées sur la recherche et inclusives pour les étudiantes et étudiants de cette région en pleine croissance. Le campus Markham ancrera York dans l’une des communautés urbaines les plus diverses et les plus dynamiques de la province et du pays. Reflétant l’économie locale, les programmes universitaires et la recherche s’articuleront autour des thèmes centraux de la technologie et de l’esprit d’entreprise et de la manière dont ils stimulent l’innovation dans tous les domaines de la connaissance et de la société.

Remettant en question les attentes traditionnelles d’un campus universitaire, le campus Markham sera un lieu de rencontre unique en son genre où les membres de la communauté étudiante pourront interagir directement avec les employeurs, les entreprises en démarrage et les partenaires communautaires de toute la région de York.

« La construction de ce nouveau campus est une déclaration en soi, mais la manière dont nous le construisons l’est tout autant, déclare M. King. Ce nouveau centre d’apprentissage est bâti par la communauté et pour son compte. La mission de York est exprimée en verre, en béton et en acier, et c’est la preuve des grandes choses que nous pouvons accomplir lorsqu’une mission commune nous rassemble. Â»

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La crise climatique aura des répercussions sur notre santé, de la disparition des abeilles à l’insécurité alimentaire /unsdgs/climate-action-fr/climate-crisis-will-affect-our-health-from-dwindling-bees-to-food-insecurity/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:45:08 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/climate-crisis-will-affect-our-health-from-dwindling-bees-to-food-insecurity/ Notre utilisation excessive des combustibles fossiles continue de compromettre notre avenir. Il semble que chaque jour, les médias rapportent des preuves alarmantes du changement climatique : des records de chaleur sont atteints en Australie tandis que les feux de brousse ravagent le pays comme jamais auparavant; le pergélisol du Labrador fond et le niveau des océans […]

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Notre utilisation excessive des combustibles fossiles continue de compromettre notre avenir.

Il semble que chaque jour, les médias rapportent des preuves alarmantes du changement climatique : des records de chaleur sont atteints en Australie tandis que les feux de brousse ravagent le pays comme jamais auparavant; le pergélisol du Labrador fond et le niveau des océans continue de monter, menaçant les îles et les côtes à faible altitude.

Des chercheurs de l’Université York nous préviennent que la crise climatique est sur le point de devenir une crise sanitaire.

Photo of Steven Hoffman
Steven Hoffman

« L’Organisation mondiale de la santé l’a qualifiée de défi majeur de notre siècle en matière de santé publique, déclare Steven Hoffman, professeur et directeur du Global Strategy Lab de l’Université York. C’est une bonne évaluation de la situation. Ce qui rend le changement climatique accablant, c’est qu’il est causé par la civilisation humaine et qu’il a des répercussions sur tout ce que nous faisons. Â»

Dawn Bazely, professeure de biologie à York, a consacré ses trente années de carrière universitaire à la compréhension des espèces végétales envahissantes. Observer l’évolution du climat est essentiel à son travail.

Photo of Dawn Bazely
Dawn Bazely

Elle explique qu’avec le changement climatique qui réchauffe la planète, des pays nordiques comme le Canada voient apparaître pour la première fois certaines espèces de plantes et d’insectes. « Partout où il y a une tendance au réchauffement, nous allons voir les maladies dominantes en zones tropicales et subtropicales s’étendre à d’autres régions. C’est pourquoi, ajoute-t-elle, on observe davantage de cas de virus du Nil occidental (transmis par les moustiques) et de maladie de Lyme (transmis par les tiques) au Canada. Â»

Sheila Colla, professeure adjointe à la Faculté d’études environnementales de York, signale que le déclin de la population des abeilles aura des répercussions sérieuses sur notre santé. Mme Colla a constaté des réductions importantes du nombre de bourdons originaires du Canada.

Elle souligne que toutes les espèces d’abeilles sont sensibles aux changements météorologiques causés par le changement climatique. Un printemps précoce ou tardif, par exemple, peut modifier la croissance des fruits, légumes et fleurs pollinisés par les abeilles. Cela affecte leur capacité à se reproduire. Sans abeilles, nous avons moins de nourriture et, par conséquent, moins de sources de nutrition.

Photo of Sheila Colla
Sheila Colla

« Un tiers de notre alimentation est pollinisé par des animaux, principalement des abeilles Â», explique Mme Colla. Elle ajoute que les abeilles pollinisent une grande variété de cultures et, surtout, les aliments qui contiennent des antioxydants, comme les tomates, les baies, le chou frisé et la laitue.

« Contrairement aux abeilles domestiques, les bourdons ne produisent pas de miel, mais ils sont d’excellents pollinisateurs, note Mme Colla. Il faut plus d’un type d’abeille pour polliniser nos cultures et pour que nous ayons un régime alimentaire varié et riche en vitamines… Nous devons absolument sauver tous nos pollinisateurs. Â»

Pour Mark Terry, chercheur post-doctoral et réalisateur de documentaires à York, la réalité du changement climatique et ses dégâts sur les espèces vivantes sont étonnamment visibles aux pôles Nord et Sud.

Quand il a emmené une équipe en Antarctique pour tourner The Antarctica Challenge: A Global Warning en 2010, il a filmé des phoques aveuglés par l’augmentation des rayons ultraviolets du soleil et des manchots s’éloignant de leurs habitats côtiers traditionnels pour aller vers l’intérieur des terres, cherchant désespérément de la nourriture. En effet, leur nourriture principale – le krill, un crustacé présent dans les eaux de l’Antarctique – est en train de disparaître en raison du réchauffement des températures océaniques.

Photo of Mark Terry
Mark Terry

Le Malawi, dans le sud-est de l’Afrique, met en évidence la disparité du changement climatique. Il fait partie des pays les plus pauvres du monde et son économie dépend de l’agriculture. Le maïs est la principale culture vivrière. Mais le rendement des cultures de maïs a récemment chuté de 34 %.

« Le maïs a besoin d’une certaine quantité de lumière solaire et de précipitations, explique James Orbinski, directeur de l’Institut Dahdaleh de recherche en santé mondiale (DIGHR) de York et ancien président international de Médecins Sans Frontières (Doctors Without Borders). Avec le changement climatique, le Malawi connaît désormais des périodes de sécheresse prolongées. La région australe de l’Afrique connaît sa pire sécheresse depuis 100 ans. Les célèbres chutes Victoria coulent au compte-gouttes et les robinets s’assèchent. Plus de 45 millions de personnes dépendent d’une aide alimentaire en raison des mauvaises récoltes. Cela est dû au changement climatique. Â»

Photo of James Orbinski
James Orbinski

M. Orbinski pointe du doigt une ironie cruelle : « Les régions les plus touchées par le changement climatique sont les plus pauvres et les moins développées. Elles sont les moins résilientes et possèdent les systèmes sociaux, politiques et infrastructurels les moins flexibles. Ce qui est ironique, c’est qu’elles sont les moins responsables des émissions de gaz à effet de serre. Â»

Y a-t-il un espoir d’atténuer ce qui pourrait être une catastrophe sanitaire mondiale? Les chercheurs de York sont optimistes, à condition d’agir maintenant.

Selon Mme Bazely, cela commence par le partage des connaissances. « Comment pouvons-nous équiper les populations locales partout et les universitaires en dehors de l’hémisphère nord? Comment diffuser largement la recherche et les connaissances? Je m’intéresse beaucoup au libre accès et à la possibilité de faire émerger la recherche financée par les contribuables des systèmes de bibliothèques universitaires. Tant d’universitaires, de chercheurs et de personnes de l’hémisphère sud n’ont tout simplement pas accès aux connaissances qui se cachent derrière des murs coûteux. Â»

Pour M. Orbinski, la priorité est de « voir la relation symbiotique entre notre biosphère et les civilisations humaines qui définit la santé planétaire. Il s’agit aussi de développer des outils, des technologies et des politiques qui aident les communautés à s’adapter à la nouvelle réalité des effets du changement climatique sur la santé. Nous y travaillons activement au DIGHR. Â»

M. Hoffman compare l’action mondiale que nous devons entreprendre pour lutter contre le changement climatique à l’action entreprise pour combattre les pandémies. « Les maladies infectieuses se propagent à travers les frontières. Les virus n’ont pas de passeport. Par conséquent, si nous voulons vraiment protéger notre santé contre la prochaine pandémie, nous devons réfléchir et agir au niveau mondial, exactement de la même façon que pour les changements climatiques. Â»

M. Terry nous exhorte à aider les jeunes à s’engager dans l’action visant à enrayer le changement climatique. Dans le cadre de son travail postdoctoral à l’Institut Dahdaleh, il donne un cours axé sur la réalisation de documentaires et l’activisme environnemental. Il a également dirigé une équipe composée de ses étudiants lors d’une grève climatique « Fridays for Future Â» à Toronto et a accueilli un groupe d’étudiants autochtones de Tuktoyaktuk lors de la COP 25 à Madrid en décembre 2019.

« Ce sont les étudiants qui nous mèneront vers les réformes nécessaires au maintien d’une planète saine. C’est pourquoi le remarquable travail de Greta Thunberg est si important. Je crois qu’aujourd’hui, notre objectif dans les universités est de fournir aux étudiants les connaissances et les outils dont ils auront besoin pour continuer le combat. Â»

Pour en savoir plus sur Steven Hoffman, visitez sa . Pour en savoir plus sur Dawn Bazely, consultez son . Pour en savoir plus sur les recherches de Sheila Colla, consultez sa . Pour en savoir plus sur Mark Terry, visitez sa . Pour en savoir plus sur James Orbinski, consultez son .

Pour en savoir plus sur la recherche et l’innovation à York, suivez-nous à ; visionnez notre qui met en vedette les secteurs actuels de recherche et les domaines à explorer comme l’intelligence artificielle et les futurs autochtones; vous pouvez aussi visionner cette qui illustre les succès de l’année.

Paul Fraumeni est un écrivain indépendant primé, spécialisé dans la couverture de la recherche universitaire depuis plus de 20 ans. Pour en savoir plus, visitez son .

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La base de données sur l’eau douce aide les chercheurs du monde entier /unsdgs/life-below-water-fr/freshwater-database-helps-researchers-around-the-world/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:44:50 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/freshwater-database-helps-researchers-around-the-world/ Pictured here: Sapna Sharma À l’heure où le monde est confronté aux conséquences mondiales du changement climatique, l’eau douce dans les lacs de la planète sera au centre des préoccupations.  L’eau des lacs représente moins d’un pour cent de l’approvisionnement mondial en eau douce de surface, mais elle fournit des services écosystémiques essentiels, notamment en matière […]

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Pictured here: Sapna Sharma

À l’heure où le monde est confronté aux conséquences mondiales du changement climatique, l’eau douce dans les lacs de la planète sera au centre des préoccupations. 

L’eau des lacs représente moins d’un pour cent de l’approvisionnement mondial en eau douce de surface, mais elle fournit des services écosystémiques essentiels, notamment en matière de consommation, de transport, d’agriculture et de loisirs, en plus de constituer un habitat pour plus de 100 000 espèces d’invertébrés, d’insectes, d’animaux et de plantes. Cependant, les lacs d’eau douce sont vulnérables aux effets de l’encrassement de l’eau, de l’enrichissement en nutriments et des modifications du climat et de l’utilisation des terres, en raison de leur sensibilité aux changements environnementaux locaux et mondiaux.

Pour relever ce défi, des chercheurs de l’Université York travaillant dans le laboratoire de Sapna Sharma, professeure agrégée de biologie, ont créé une base de données publique sur la qualité de l’eau d’environ 12 000 lacs d’eau douce dans le monde entier, qui aidera les scientifiques à surveiller et à gérer la santé de ces lacs, entre autres. L’étude a permis de recueillir des données dans 72 pays, dont des centaines de lacs au Canada, et constitue un exemple de recherche innovante qui a déjà un effet positif et de grande envergure sur les communautés du monde entier.

« La création de cette base de données est un exploit qui n’est généralement accompli que par de très grandes équipes disposant de millions de dollars, et non par un seul laboratoire disposant de quelques petites subventions. C’est pourquoi je suis particulièrement fière de cette recherche Â», déclare Mme Sharma.

Les chercheurs ont passé en revue 3 322 Ã©tudes remontant jusqu’aux années 1950, ainsi que des référentiels de données en ligne afin de recueillir des informations sur les niveaux de chlorophylle, un marqueur couramment utilisé pour déterminer la santé des lacs et des écosystèmes. La chlorophylle est un indicateur de la quantité de végétation et d’algues dans les lacs, appelée production primaire. Selon Mme Sharma, le réchauffement des températures estivales et l’augmentation du rayonnement solaire due à la diminution de la couverture nuageuse contribuent à une augmentation de la chlorophylle, tandis que l’augmentation du nombre de tempêtes causée par le changement climatique contribue à la dégradation de la qualité de l’eau.

« L’activité humaine, le réchauffement climatique, le ruissellement agricole et urbain et le phosphore provenant de l’utilisation des terres peuvent tous augmenter le niveau de chlorophylle dans les lacs Â», explique Alessandro Filazzola, chercheur postdoctoral et l’un des responsables de l’étude. « La production primaire est surtout représentée par la quantité de chlorophylle dans le lac qui a un impact en cascade… Si la chlorophylle est trop faible, elle peut avoir des effets négatifs en cascade sur l’ensemble de l’écosystème, tandis que si elle est trop importante, elle peut provoquer une abondance de la croissance des algues, ce qui n’est pas toujours bon. Â» Selon Mme Sharma, la base de données peut être utilisée pour mieux comprendre comment les niveaux de chlorophylle réagissent aux changements environnementaux mondiaux. « Elle fournit des comparaisons de base aux gestionnaires de l’environnement chargés de maintenir la qualité de l’eau et la santé de nos lacs et des communautés qu’ils soutiennent. Â»

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Une classe de biologie se rend dans les cours arrière des étudiants pendant la pandémie  /unsdgs/life-on-land-fr/biology-class-takes-to-students-backyards-during-pandemic/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:44:23 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/biology-class-takes-to-students-backyards-during-pandemic/ Pictured here: Laura McKinnon Ce type de recherche — qui a assuré le renom de l’Université York au Canada et dans le monde entier — fait progresser les connaissances, crée des changements positifs et est un tremplin pour les futures carrières de nos étudiantes et étudiants qui souhaitent changer la donne dans leurs communautés. Mais […]

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Pictured here: Laura McKinnon

Ce type de recherche — qui a assuré le renom de l’Université York au Canada et dans le monde entier — fait progresser les connaissances, crée des changements positifs et est un tremplin pour les futures carrières de nos étudiantes et étudiants qui souhaitent changer la donne dans leurs communautés. Mais que faire lorsqu’une pandémie mondiale entrave cette recherche? Si vous êtes la professeure de biologie du campus Glendon , vous faites en sorte que les étudiantes et étudiants mènent des recherches dans leur cour, au sens propre.  

Le cours de Mme McKinnon, intitulé « Ecological Monitoring in an Urban Environment », est un cours obligatoire de 12 jours dans le cadre du Programme des universités ontariennes d’études sur le terrain. En temps normal, les étudiants et étudiantes baguent des oiseaux, cherchent les nids de pluviers kildir et visitent un programme de marquage de tortues. Une grande partie de ce travail est habituellement effectuée dans le vaste réseau de ravins de Toronto.  

Cependant, en raison du confinement de la pandémie, les étudiants de McKinnon ne pouvaient pas aller sur le terrain, alors elle a créé un cours en ligne où la recherche se déroulait dans leur cour.  

Afin de pouvoir soutenir chaque étudiant et leur fournir tout le matériel nécessaire au travail sur le terrain, Mme McKinnon a limité les inscriptions à 10 au lieu de 20. Elle s’est assurée que chacun de ses apprenants disposait d’un espace vert et les a ensuite invités à récupérer une trousse d’études sur le terrain, qui comprenait des jumelles, un carnet de terrain, des guides de poche, un appareil de Berlese, un microscope de dissection et des appareils de surveillance bioacoustique.  

Le cours modifié de McKinnon s’est déroulé sur deux semaines. La première semaine du cours était consacrée à l’enseignement des techniques de recherche dans la cour arrière, à des travaux comme apprendre à prendre de bonnes notes sur le terrain, à identifier des oiseaux et à en faire un dénombrement ponctuel. Elle a organisé des séances distinctes sur la rédaction scientifique, la surveillance bioacoustique (cris et chants d’oiseaux et de chauves-souris) et sur la statistique. La deuxième semaine était réservée à la recherche : les étudiants et étudiantes ont travaillé sur un projet de recherche par équipes de deux.  

« Après avoir acquis des techniques d’échantillonnage en ornithologie, en mammalogie, en entomologie et en botanique, chaque étudiant devenait le chercheur principal de son propre site de recherche, collectant les données individuellement selon les protocoles écologiques standards. Ensuite, il fallait ajouter ces données au réseau des huit sites de recherche à divers endroits de Toronto, explique la professeure. Que ces sites de recherche aient été la cour arrière des étudiants n’enlevait rien à leur capacité d’entreprendre des projets de recherche scientifique sur des questions écologiques fondamentales en écologie urbaine. »  

Ce cours n’était pas de tout repos. Il fallait se lever à l’aube pour faire un dénombrement ponctuel des oiseaux vus ou entendus et recommencer à la brunante. Il fallait aussi se réunir à 8 h pour partager les données récoltées et discuter des problèmes et activités.  

Une équipe a mesuré les fréquences (en hertz) minimales et maximales des cris des merles d’Amérique au cours de la période de 10 jours de collecte des données. Ils ont également mesuré les niveaux ambiants de bruit anthropique. Ils ont ensuite vérifié si la fréquence des cris d’oiseaux changeait pour compenser l’augmentation du bruit dans les zones urbaines plus fréquentées.  

« En discutant de leurs résultats, les étudiantes et étudiants peuvent s’appuyer sur les théories qu’ils ont apprises dans leurs cours d’écologie, a déclaré Mme McKinnon. Bien que leurs résultats soient à petite échelle et ne puissent pas être publiés, il y avait quelques bonnes idées à poursuivre. »  

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York annonce le lancement du Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL) /unsdgs/peace-justice-and-strong-institutions-fr/york-announces-launch-of-centre-for-indigenous-knowledges-and-languages/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:43:42 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/york-announces-launch-of-centre-for-indigenous-knowledges-and-languages/ Pictured here: Deborah McGregor York annonce le lancement du Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL) Le Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL) offre un espace de création à l’Université York et ailleurs pour faire progresser la mission professorale, les théories de recherche, les méthodologies et les pratiques autochtones qui favorisent une […]

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Pictured here: Deborah McGregor

York annonce le lancement du Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL)

Le Centre des connaissances et des langues autochtones (CIKL) offre un espace de création à l’Université York et ailleurs pour faire progresser la mission professorale, les théories de recherche, les méthodologies et les pratiques autochtones qui favorisent une compréhension approfondie des buts et des aspirations des peuples autochtones. Le CIKL favorise les collaborations et les partenariats entre les peuples autochtones et d’autres personnes et crée un espace éthique pour le dialogue sur la façon dont les relations de recherche peuvent être envisagées, négociées et pratiquées à l’appui de l’avenir autochtone.

Le CIKL crée également des occasions de dialogue critique, de réflexion et de changement tout en s’attaquant à certains des défis les plus pressants du monde, affirme Deborah McGregor, directrice inaugurale du Centre, spécialiste en droit et en environnement.

Nommée réciproquement entre l’École de droit Osgoode Hall et la Faculté des changements environnementaux et urbains, madame McGregor est Anishinaabe de la Première Nation de Whitefish River. Elle possède une vaste expérience de recherche axée sur les systèmes de connaissances autochtones et leurs applications dans les domaines de l’eau, de la gouvernance environnementale, de la justice environnementale et climatique et de l’avenir durable autodéterminé.

« Le lancement du CIKL offre un espace vital pour les chercheurs autochtones et tous ceux qui participent à la décolonisation des études, à York et ailleurs. Le Centre jouera un rôle important en revigorant et en diffusant des recherches novatrices axées sur les Autochtones qui ont lieu à l’Université York et ailleurs Â», a déclaré Amir Asif, vice-président de la recherche et de l’innovation de York.

Le professeur Sean Hillier, qui deviendra directeur associé du CIKL, se joint à madame McGregor à titre de chef de recherche. Il a récemment été nommé titulaire de la Chaire de recherche York sur les politiques de santé autochtones et One Health. M. Hillier est un universitaire mi’kmaw queer de la Première Nation Qalipu et professeur adjoint à l’École de politique sanitaire et de gestion. Sa recherche concertée porte sur les thèmes du vieillissement, de la vie avec le VIH, des maladies infectieuses et de la résistance aux antimicrobiens, tout en mettant l’accent sur les politiques touchant l’accès aux soins de santé pour les peuples autochtones du Canada.

« Le fait de disposer de ressources et d’espaces consacrés à la recherche autochtone, comme l’offre le nouveau CIKL, géré par et pour les peuples autochtones sur le campus, constitue une première étape essentielle Â», affirme Hillier. « Ce centre aidera York à devenir un établissement à forte intensité de recherche, ce qui sert les principes du Cadre autochtone et du Plan académique universitaire. Â»

que l’un des objectifs du Centre est d’« accroître la visibilité des chercheurs et de leurs compétences en recherche, qu’ils soient professeurs ou étudiants, afin que les communautés autochtones puissent avoir une idée de ce que font les gens et sachent qu’il y a des recherches auxquelles elles peuvent participer. Â» Le Centre veut « mettre en évidence le rôle des connaissances, des traditions juridiques et de la langue autochtones pour aider à résoudre les problèmes auxquels l’humanité est confrontée Â», a-t-elle ajouté. « Je pense que les universités ont des obligations au-delà des frontières de s’assurer que les connaissances soient diffusées et que l’éducation offerte soit accessible. Â»

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Ouverture à York du premier Centre canadien de formation en leadership de l’ONU /unsdgs/partnerships-for-the-goals-fr/first-canadian-un-leadership-training-centre-opening-at-york/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:43:08 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/first-canadian-un-leadership-training-centre-opening-at-york/ Pictured here: Idil Boran (left) and Ali Asgary (right) Ouverture à York du premier Centre canadien de formation en leadership de l’ONU À l’Université York, nous pensons que la meilleure façon de relever les défis est de se rassembler pour les affronter. Et aucun défi n’est plus pressant que le changement climatique, ici et dans le […]

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Pictured here: Idil Boran (left) and Ali Asgary (right)

Ouverture à York du premier Centre canadien de formation en leadership de l’ONU

À l’Université York, nous pensons que la meilleure façon de relever les défis est de se rassembler pour les affronter. Et aucun défi n’est plus pressant que le changement climatique, ici et dans le monde.  

Dans le cadre de notre engagement à un monde plus durable sur les plans social, économique et environnemental, York a annoncé en juin 2021, en collaboration avec l’Institut des Nations Unies pour la formation et la recherche), qu’elle accueillerait le premier Centre international de formation des acteurs locaux (CIFAL) du Canada.

Les CIFAL offrent des formations innovantes partout au monde et servent de centres d’échange de connaissances pour la fonction publique, le secteur privé, le monde universitaire et la société civile.

Ce nouveau partenariat avec UNITAR reconnaît le leadership de York dans l’avancement de la recherche fondamentale et appliquée, dans l’innovation et dans sa capacité à travailler au-delà des frontières traditionnelles en mettant au point de nouvelles approches pour répondre aux demandes les plus urgentes de la société.

CIFAL York sera particulièrement bien placé pour contribuer à la réalisation des en matière de gestion des urgences et des catastrophes, de diversité et d’inclusion, de développement économique, de santé et d’entrepreneuriat. CIFAL York sera un catalyseur de changement positif et étendra encore plus la portée mondiale de York.

« Le monde est confronté à des problèmes complexes – de la crise climatique aux inégalités en passant par les changements technologiques rapides et la pandémie – dont la résolution nécessite une collaboration entre les secteurs et les pays, déclare Rhonda Lenton, présidente et vice-chancelière de York. La création de ce CIFAL, en partenariat avec UNITAR, nous permettra de réunir des leaders des gouvernements, d’organisations à but non lucratif et d’entreprises, ainsi que des chercheurs et des éducateurs afin de partager leurs expériences et leur expertise, et de former de nouvelles générations de dirigeants mondiaux. Â»

« La réputation exceptionnelle de l’Université York en a fait un choix évident lorsque les Nations Unies, par l’intermédiaire d’UNITAR, ont commencé à envisager un partenariat avec un établissement universitaire au Canada pour partager les connaissances et les meilleures pratiques Â», a déclaré Nikhil Seth, secrétaire général adjoint des Nations Unies et directeur général d’UNITAR. « Je compte les institutions universitaires parmi les alliées les plus précieuses d’UNITAR. Sans elles, nous ne pourrons atteindre les objectifs de l’Agenda 2030. Â»

York a également nommé le au titre de nouveau directeur de CIFAL York. En collaboration avec le , l’important exercice d’établissement de partenariats stratégiques pour faire avancer la vision a commencé le 1er juin 2021.

En outre, CIFAL York fournira une plateforme de dialogue et un forum pour le développement de nouvelles idées en offrant aux fonctionnaires, aux décideurs et aux universitaires de nouvelles occasions d’apprentissage pour faciliter le partage des connaissances et améliorer les processus de prise de décision. « En accueillant un CIFAL à l’Université York, nous élargissons les possibilités de collaboration entre tous les niveaux de gouvernement, les organisations internationales, le monde des affaires et le secteur public afin de continuer à bâtir des communautés fortes, solidaires et sécuritaires où chacun peut développer son plein potentiel Â», a déclaré Wayne Emmerson, président et chef de la direction de la région de York.

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Des solutions mondiales pour une eau potable plus propre /unsdgs/clean-water-and-sanitation-fr/global-solutions-for-cleaner-drinking-water/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:39:09 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/global-solutions-for-cleaner-drinking-water/ Pictured here: Satinder Kaur Brar À l’Université York, nous nous attaquons à des problèmes mondiaux complexes et nous préparons les étudiants à une réussite à long terme. L’un des plus grands défis à relever aujourd’hui est de faire en sorte que davantage de personnes aient accès à une eau potable sûre et propre. C’est l’objet […]

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Pictured here: Satinder Kaur Brar

À l’Université York, nous nous attaquons à des problèmes mondiaux complexes et nous préparons les étudiants à une réussite à long terme. L’un des plus grands défis à relever aujourd’hui est de faire en sorte que davantage de personnes aient accès à une eau potable sûre et propre.

C’est l’objet des travaux menés aujourd’hui dans le laboratoire dirigé par la professeure Satinder Kaur Brar, titulaire de la chaire James et Joanne Love en génie environnemental. Elle dirige des projets de recherche qui appliquent des solutions innovantes au problème mondial de la contamination de l’eau.

L’un de ces projets a conduit au développement d’un biofiltre capable d’éliminer les cyanotoxines des sources d’eau de surface. Ces toxines, qui sont causées par les algues bleues, peuvent avoir des effets négatifs sur la santé allant des éruptions cutanées à des maladies graves et, dans de rares cas, à la mort.

Les Grands Lacs, principale source d’eau potable pour huit millions de Canadiens et d’Américains, ont connu une forte augmentation de la prolifération des algues ces dernières années.

Avec une détermination inébranlable pour faire une différence, le chercheur postdoctoral Pratik Kumar a décidé de mettre au point une solution durable et économique à l’échelle d’un ménage. Après avoir exploré plusieurs options, il a opté pour une solution qui semblait simple : le sable. Du sable recouvert de graphite, pour être exact.

Ce choix était particulièrement important, car M. Kumar s’est rendu compte dès le début du projet que les utilisateurs seraient probablement peu à l’aise avec l’utilisation de bactéries ou de composés biologiques pour traiter leur eau potable. Autre avantage, le sable graphité utilisé dans son filtre peut être obtenu par des méthodes durables, en réutilisant des déchets existants.

Le résultat est un nouveau type de biofiltre qui réduit la concentration de cyanotoxines à 0,61 Âµg/L, soit moins que la concentration critique de 1 Âµg/L établie par l’Organisation mondiale de la santé. M. Kumar a publié les résultats de ses travaux dans la revue Science of the Total Environment et a été récompensé par l’International Water Association en recevant le prix Young Water Professionals Canada Award. Il a rejoint cette organisation après avoir terminé son doctorat afin de soutenir les collaborations entre professionnels de l’eau et pour faire connaître la recherche et les technologies de l’eau développées au Canada.

« Tout le monde dans le laboratoire est incroyablement fier de ce que Pratik accomplit pour aider à fournir de l’eau potable aux gens, dit Mme Brar. Faire passer notre travail du laboratoire au terrain est notre objectif ultime. Non seulement il y parvient, mais son travail est reconnu, ce qui ne peut qu’aider chacun d’entre nous dans notre recherche de nouvelles façons d’éliminer les polluants de notre ressource la plus précieuse. Il quitte notre laboratoire et il va nous manquer, mais c’est l’Inde qui en profitera. Nous lui souhaitons beaucoup de succès. Â»

Pratik Kumar a été nommé professeur à l’Institut indien de technologie (IIT) de Jammu et a commencé en avril 2021. Son attention s’est portée sur son pays d’origine, où la nécessité d’éliminer les toxines et autres polluants primaires des sources d’eau est plus grande, car moins de la moitié de la population a facilement accès à l’eau potable. Avec l’accent mis par Pratik Kumar sur l’Inde, Mme Brar et ses collègues de l’Université York continueront à étudier d’autres moyens de fournir de l’eau potable aux populations du monde entier.

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York présente un nouveau conseil afin de respecter son engagement en matière d’égalité, de diversité et d’inclusion /unsdgs/reduced-inequalities-fr/york-introduces-new-council-to-deliver-on-commitment-to-edi/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:38:29 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/york-introduces-new-council-to-deliver-on-commitment-to-edi/ Pictured here: Sheila Cote-Meek À l’Université York, nous nous sommes engagés à favoriser un environnement d’apprentissage favorable et inclusif qui valorise la diversité. York met de l’avant un certain nombre d’initiatives audacieuses dans l’ensemble de l’Université qui donnent vie à notre engagement.  L’année dernière, l’Université a annoncé la création du Conseil consultatif de la présidente […]

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Pictured here: Sheila Cote-Meek

À l’Université York, nous nous sommes engagés à favoriser un environnement d’apprentissage favorable et inclusif qui valorise la diversité. York met de l’avant un certain nombre d’initiatives audacieuses dans l’ensemble de l’Université qui donnent vie à notre engagement. 

L’année dernière, l’Université a annoncé la création du Conseil consultatif de la présidente sur l’équité, la diversité et l’inclusion (EDI), composé de membres du corps professoral et du personnel de York avec une diversité de perspectives, d’expériences vécues et de talents. Le groupe s’engage dans un processus de consultation et de collaboration pour développer un cadre et une stratégie qui feront progresser l’EDI à York.

Le Conseil a été officiellement lancé en novembre 2020. Il est présidé par Sheila Cote-Meek, vice-présidente de l’équité, des personnes et de la culture.

« Ã€ York, nous considérons l’équité, la diversité et l’inclusion comme essentielles à notre mission de former la prochaine génération de leaders – des personnes qui façonneront l’avenir du Canada et du monde Â», a déclaré Sheila Cote-Meek. « Une seule voix réduite au silence nous empêche de remplir cette mission et nous diminue tous. Je suis vraiment reconnaissante à tous les membres de la communauté universitaire qui se sont manifestés, ont fait entendre leur voix et ont contribué à faire avancer ces initiatives cruciales. Â»

Au cours de ses premiers mois, le Conseil a solidifié son mandat et sa structure et a procédé à une analyse de l’environnement des meilleures pratiques d’EDI et celles les plus prometteuses dans les établissements postsecondaires, y compris une analyse complète des pratiques existantes à York. Une évaluation plus approfondie dans une optique intersectionnelle a suivi et un projet de stratégie d’EDI à l’échelle de l’université sera prochainement diffusé auprès des membres de York pour consultation et commentaires.

Le Conseil a également parrainé Insights, une série de conférences sur l’EDI, afin d’informer et d’inspirer les membres de la communauté et d’encourager un dialogue ouvert et une réflexion critique sur les questions, les stratégies et la planification de l’EDI. Les deux premiers événements virtuels de la série ont eu lieu à l’hiver 2021, en présence de centaines de personnes.

En septembre, Mme Cote-Meek a annoncé la nomination de la professeure Susan D. Dion au poste inaugural de vice-présidente associée aux affaires autochtones. Mme Dion s’est jointe à l’Université York en 2001 et a été la première Autochtone du corps professoral à être embauchée à la Faculté d’éducation de York. Elle a travaillé avec les étudiants autochtones et l’administration de l’Université pour répondre aux besoins et aux intérêts définis par la communauté étudiante en défendant et en soutenant la création des Services aux étudiants autochtones et du Centre des services aux étudiants autochtones de York. Mme Dion a été l’une des membres fondateurs du Conseil autochtone de York et en a été la coprésidente pendant trois mandats entre 2004 et 2015.

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Le nouveau bâtiment primé incarne l’excellence en matière de pratiques durables /unsdgs/industry-innovation-and-infrastructure-fr/award-winning-new-building-embodies-excellence-in-sustainable-practices/?lang=fr Mon, 17 Oct 2022 14:38:05 +0000 /unsdgsdevdev/non-classifiee/award-winning-new-building-embodies-excellence-in-sustainable-practices/ Pictured here: James McKellar La durabilité est un principe directeur de notre fonctionnement quotidien ainsi que de notre manière de construire et de nous développer pour l’avenir. La preuve de l’engagement de l’Université York à l’égard d’un avenir plus durable se trouve dans le bâtiment d’études supérieures et de recherche Rob et Cheryl McEwen. Ouvert […]

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Pictured here: James McKellar

La durabilité est un principe directeur de notre fonctionnement quotidien ainsi que de notre manière de construire et de nous développer pour l’avenir. La preuve de l’engagement de l’Université York à l’égard d’un avenir plus durable se trouve dans le . Ouvert en 2019, il fait partie de l’École Schulich des hautes études commerciales et accueille des recherches interdisciplinaires dans des domaines allant de l’éthique des affaires et des mégadonnées à l’entreprise mondiale, en passant par l’immobilier et les infrastructures.

« Le bâtiment envoie un message fort et l’architecture communique cela très clairement, a déclaré Rob McEwen lors de l’inauguration officielle de l’édifice. Nous sommes dans un bâtiment est la porte d’entrée de l’Université York. Quel est le message? Cette école est innovante, imaginative et responsable vis-à-vis de l’environnement et elle trace la voie pour l’avenir. Â»

Le a reçu la certification LEED Or, l’une des plus hautes normes de durabilité. Il s’agit de l’un des premiers bâtiments au Canada à utiliser les principes des systèmes de construction thermiquement actifs, centrés autour d’une spectaculaire cheminée solaire en verre de 27 mètres de haut qui assure la ventilation naturelle passive de l’ensemble du bâtiment. Pendant près de la moitié du temps d’occupation, la cheminée solaire sera la principale source de ventilation. Le bâtiment de 67 000 pieds carrés a immédiatement attiré l’attention par son design remarquable et ses caractéristiques innovantes. LEED, qui signifie « Leadership in Energy and Environmental Design Â», est la principale référence de l’industrie mondiale du bâtiment en matière de conception durable.

Le bâtiment dispose également de plus de 200 fenêtres extérieures automatisées, contrôlées par ordinateur qui assurent une ventilation naturelle. Il contient plus de 20 km de tuyaux de chauffage et de refroidissement par rayonnement intégrés dans sa structure en béton pour créer ce que l’on appelle un système de dalles actives, la méthode la plus économe en énergie pour chauffer et refroidir mécaniquement un bâtiment. Pour minimiser davantage son empreinte énergétique, le bâtiment comporte de nombreux espaces intérieurs éclairés par la lumière du jour et de vastes toits verts. Toutes les vitres extérieures sont constituées de verre à faible émissivité à triple vitrage et sont dotées de marqueurs extérieurs adaptés aux oiseaux.

« En tant que bâtiment certifié LEED Or, l’édifice du incarne l’engagement de l’École Schulich des hautes études commerciales à être un chef de file international reconnu en matière de durabilité environnementale dans toutes ses activités Â», a déclaré le doyen associé des relations extérieures et professeur en immobilier et en infrastructures .   Le a été reconnu par l’Ordre des architectes de l’Ontario (OAA), qui lui a décerné le prix d’excellence en design 2020 en reconnaissance de son excellence architecturale, de sa créativité et de sa conception durable. Il a également reçu un prix du Conseil du bâtiment durable au Canada en 2020 pour sa conception durable, son excellence architecturale et son innovation technique.

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